Les7 nains : Du matin jusqu'au soir On pioche tic tac, tic tac, tic tac Tout ce que l'on peut voir On pioche les diamants par monceaux Les sacs de rubis par quintaux Pour nous sans valeur sont ces trĂ©sors On pioche tic tac, tic tac Prof: Heigh-ho, Les 7 nains : Heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho On rentre du boulot ! Les7 Nains On Rentre Du Boulot On rentre du boulot" : les 7 nains et leur chanson ont fait partie des premiĂšres images diffusĂ©es sur Twitter quand HĂ© oh.Pour nous sans valeur Heighho, heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho On rentre du boulot ! ----- Laissez-vous emporter par la magie Bienvenue sur la chaĂźne YouTube officielle de Disney ! Des Aristochats au Roi Lion, en passant par La Reine des Neiges ou Vaiana, la lĂ©gende du bout du monde : toutes les chansons des Grands Classiques Disney sont lĂ  ! Apprenez-en plus De "Blanche Neige et les Septs Nains"/Bande Originale Française du Film) ApparaĂźt dans. Album . Blanche Neige et les Septs Nains. Various Artists . Titres les plus populaires de GĂ©rard Rinaldi. MORCEAU. ARTISTE. SHAZAMS . Heigh-Ho! Heigh-Ho! Bernard Alane & GĂ©rard Rinaldi & Jean-Loup Horwitz & Jean-Claude Donda & Michel Mella. Bernard Alane Desle reveil En Broceliande Je suis all? A toi Merlin J'ai demand? Pourquoi cela M'est arriv? Et dans ma tete Toute la soir? e Je me suis mis A chantonner J'avais blanche neige et les sept nains Avec un whisky? la main Sauf Grincheux lui qui boudait En sirotant son verre de vin Eh oh, eh oh, eh oh, eh oh on rentre du boulot Vay Tiền Online Chuyển KhoáșŁn Ngay. Blanche-Neige et les sept nains News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage RĂ©compenses Films similaires note moyenne 4,0 20447 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCinĂ© Votre avis sur Blanche-Neige et les sept nains ? 269 critiques spectateurs 5 121 critiques 4 85 critiques 3 41 critiques 2 16 critiques 1 4 critiques 0 2 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus rĂ©centes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnĂ©s De nos jours, dans le milieu de l’animation chez Disney, vous retenez surement parmi les classiques Le Roi Lion, La Reine des Neiges, Aladdin ou encore Les Nouveaux hĂ©ros qui font clairement parti des Disney les plus populaires et apprĂ©ciĂ©, Ă  juste titre bien sur je les adore comme beaucoup de monde. Pourtant, je trouve qu’on a un peu tendance Ă  oublier ce qui s’est fait auparavant. Notamment que le premier film d’animation Ă  avoir connu un Ă©norme succĂšs n’est autre qu’un classique d’animation Disney un peu mis Ă  l’écart depuis, Blanche-Neige et les sept nains. En plus d’ĂȘtre le premier classique Disney, c’est Ă©galement le tout premier film d’animation Ă  avoir vu le jour, oscarisĂ© d’honneur l’annĂ©e suivante pour avoir apportĂ© un grand et nouvel Ă©lan au cinĂ©ma avec l’animation sur grand Ă©cran, lĂ  ou auparavant Disney en Ă©tait encore au court-mĂ©trage, ce qui Ă©tait dĂ©jĂ  un dĂ©but et aujourd’hui encore, le film reste une rĂ©ussite Ă©tonnante dans le domaine de l’animation. Seulement, de nos jours beaucoup n’apprĂ©cient pas le film en pointant du doigt un bon nombre de dĂ©tail Ă  son propos, que ça soit les fĂ©ministes dĂ©signant Blanche-Neige comme un mauvais modĂšle, les anti-Disney qui aime trouver des faux trucs malsain dans les classiques ou lĂ©gĂšrement ambigĂŒe, ceux qui prĂ©fĂšre voir des films d’animation en 3D et images de synthĂšse plutĂŽt que de l’animation dessinĂ© Ă  la main et animĂ© au crayon comme auparavant. A cela, je rĂ©pondrais sans honte j’ai aimĂ©, j’aime et j’aimerais toujours autant Blanche-Neige dĂ©jĂ  parce que j’ai grandi avec ce film, et qu’il y a beaucoup plus de bon Ă  en dire qu’on ne voudrait le laisser entendre. Cela dit si il a des inconvĂ©nients, que ça soit dĂ» Ă  la mentalitĂ© de l’époque ou en tant que film, mais parlons-en justement avec d’abord les personnages. Blanche-Neige est, Ă  elle seul, l’archĂ©type de la princesse tel qu’on la reprĂ©sente actuellement. Elle parle aux animaux, chante et est ridiculement jolie et pĂąle, gentille et c’est Ă  peu prĂšs tout ce qu’il Ă  retenir autour de cette princesse. Alors d’un cĂŽtĂ©, je comprends trĂšs bien que comparĂ© aux derniĂšres hĂ©roĂŻnes Disney comme Elsa et Anna, Esmeralda, Tiana, Raiponce ou encore Belle, elle est extrĂȘmement faible en tant que personnage et semble plus rĂ©duite Ă  faire le mĂ©nage et la cuisine qu’autre chose. Toutefois, elle n’est pas dĂ©sagrĂ©able pour autant et quand elle rencontre les nains et prend les choses en main chez eux, elle fait plus figure de mĂšre que de simple femme de mĂ©nage quand on voit que les nains ne savent pas faire la cuisine ou mĂȘme faire le mĂ©nage et s’entretenir, il faut bien quelqu’un pour les redresser. Donc, en tant que personnage, Blanche-Neige est inintĂ©ressante, pas dĂ©testable ou dĂ©sagrĂ©able mais inintĂ©ressante, toutefois en tant que figure et reprĂ©sentation elle joue un rĂŽle intĂ©ressant, et puis elle reste selon moi plus supportable que d’autres n'est-ce pas Aurore ?. Et cela est justement renforcĂ© par l’arrivĂ©e de nos 7 personnages qui sont, en quelque sorte, Ă  la fois les faire-valoir mais aussi les stars du film, nos trĂšs chers nains. Prof, Timide, Atchoum, Dormeur, Joyeux, Simplet et Grincheux mes deux prĂ©fĂ©rĂ©s, surtout avec les rĂ©actions qu’ils ont. Principalement, ce sont eux qui servent l’humour du film et les personnages sont trĂšs stĂ©rĂ©otypĂ©s dans le sens ou les noms correspondent au caractĂšre du personnage, mais comme le film raconte son histoire comme un conte tout en Ă©tant fidĂšle, ce n’est pas du tout un mal au contraire. Et puis, je peux pas m’empĂȘcher de sourire ou de rire Ă  chaque fois qu’ils ont des rĂ©actions exagĂ©rĂ©es ou disproportionnĂ© comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. De plus, chacun de leur caractĂ©risation font trĂšs enfantin et je crois que c’est volontaire, on les voit avoir du mal pour certains avec une femme qu’ils rencontrent pour la premiĂšre fois tandis que Grincheux fait le fier en pestant contre elle mais l’acceptent sous leur toit pour sa gentillesse et sa beautĂ©, c’est trĂšs classique d’un cĂŽtĂ© et il faut aimer le film pour cela, mais de l’autre ça amĂšne une morale intĂ©ressante que je dĂ©velopperais vers la fin de la critique. En revanche, en ce qui concerne le prince, je ne ferais pas de commentaire parce que ce mec a la profondeur d’un coffre Ă  bijou et le charisme d’une brique tant il est dĂ©laissĂ©. Il ne fait que servir le conte et la maniĂšre dont est racontĂ© le film mais on l’oublie totalement aprĂšs le film, mĂȘme le prince Philippe dans La Belle au bois Dormant est moins ennuyeux et vide que ça. Et en ce qui concerne la romance du film, elle s’appuie surtout sur l’aspect conte mais pas sur un dĂ©veloppement de personnage, si vous voulez voir une romance pour ses personnages croyez moi vous allez trouver celle-lĂ  saoulant et sans intĂ©rĂȘt. Par contre, il est intĂ©ressant de voir que la romance fonctionne si on laisse l’émotion du film nous emporter et son aspect de conte prendre un impact sur nous, mĂȘme si bien sur le prince et la princesse sont plus faible que la presque intĂ©gralitĂ© des couples de classique Disney, faut l’admettre. Le chasseur ne sert pas Ă  grand-chose non plus, il joue son rĂŽle de personnage de conte, c’est tout, mais ce qui est con c’est qu’on ne sait mĂȘme pas ce qu’il devient au final et ce qu’il adviendra, il a juste le temps de faire 2 apparitions dans 2 scĂšnes, et basta. En revanche, la mĂ©chante du film, la reine, est la parfaite candidate parmi les meilleurs mĂ©chants Disney, dĂ©jĂ  parce qu’elle va Ă  fond dans ce qu’elle est, une vieille grognasse jalouse de sa fille et qui veut rester la plus belle, allant jusqu’à s’enlaidir Ă  son paroxysme pour devenir une vieille mĂ©gĂšre avec la fameuse pomme rouge et le regard globuleux qui en a terrifiĂ© plus d’un quand on Ă©tait gosse. Elle a la voix, elle a le rire dĂ©moniaque qui va avec, les bonnes rĂ©pliques, et bien sur une mort grandiose qu’on n’oublie pas de si tĂŽt. Une excellente antagoniste bien que caricatural Ă©tant respectueux du conte, n’en reste pas moins gĂ©nial tant les animateurs et scĂ©naristes ont assumĂ© pleinement ce qu’elle Ă©tait. En revanche, expliquez-moi, quel est la triple andouille de premiĂšre qui a placĂ© une tortue dans une forĂȘt au milieu de tous les animaux que Blanche-Neige rencontre ? Sans dĂ©conner les gars, pourquoi une tortue ? Non parce qu’à part pour deux/trois gags dont un qui est plus ambigĂŒe qu’autre chose, il sert absolument Ă  rien et il n’apparaĂźt mĂȘme pas Ă  la fin du film. Donc ouais, chacun aura ses apriori sur les personnages, mais il y a eu Ă©normĂ©ment d’évolution depuis le temps, dĂ©jĂ  avec Pinocchio qui est sorti bien des annĂ©es ensuite. En ce qui concerne la VF, j’ai grandis avec le second doublage mais j’ai eu le droit au troisiĂšme avec le Blu-Ray. Je pensais que je dĂ©testerais, mais au bout de cinq minutes on s’y fait rapidement et je pense mĂȘme l’apprĂ©cier un peu plus que le prĂ©cĂ©dent. ValĂ©rie Siclay surjoue un peu par moment mais c’est excusable en raison du personnage de Blanche-Neige, Rachel Pignot par contre s’en sort parfaitement au chant, Sylvie Genty et Katy Vail pour la reine et la sorciĂšre font bien leur travail aussi, Marc Alfos a fait le chasseur et sur ce point lĂ  trĂšs bon choix, les comĂ©diens pour les nains aussi, de mĂȘme pour le prince, du trĂšs bon travail en si il y a bien un point qui n’a pas vieillit depuis, c’est la musique de Leigh Harline et Paul J. Smith que ça soit pour les chansons ou les scĂšnes musicaux. La montĂ©e de puissance et en crescendo des instruments nous entraĂźnent trĂšs vite, le thĂšme principal est utilisĂ© Ă  juste dose et est, en lui-mĂȘme, parfaitement orchestrĂ© et digne d’une ambiance de conte, on la retient facilement une fois entendu, de mĂȘme pour plusieurs autres mĂ©lodies. Les chansons aussi se retiennent mĂȘme si plusieurs sont trĂšs cul cul la praline et trĂšs niais mĂȘme pour l’époque, je souhaite/un chant est dĂ©jĂ  bien rose sans ĂȘtre dĂ©sagrĂ©able Ă  l’oreille, pareil pour Un sourire en chantant, par contre on retient tous Sifflez en travaillant que ça soit pour la vanner ou si on l’aime et il ne faut pas se mentir, elle reste trĂšs entraĂźnante. Heigh-Ho est simple mais aussi la plus apprĂ©ciĂ©, ça donne envie de la chantonner d’ailleurs. La tyrolienne des nains est amusante, Un jour mon prince viendra est cul cul au possible et il en est de mĂȘme pour sa reprise, la reprise d’un chant aussi mais elle sert la scĂšne en question comme il faut. Et ce n’est pas plus mal que la scĂšne de la soupe n’ait pas Ă©tĂ© retenu, ça aurait plus servi de pause inutile qu’autre chose et le film n’en avait pas besoin. MĂȘme du cĂŽtĂ© de l’animation les dessinateurs ont fait un travail qui reste impressionnant de nos jours. Cela dit ça a aussi un peu vieilli et on peut facilement trouver des faux raccords par-ci par-lĂ , comme une image qui se fige pendant presque une seconde, Blanche-Neige qui arrive chez les nains immaculĂ© et sec malgrĂ© son pĂ©riple dans les bois, Simplet qui arrive avec une lanterne alors qu’il n’en avait pas avant de rejoindre le groupe de nain, ou un dĂ©gradĂ© de lumiĂšre d’une scĂšne Ă  un autre pas toujours nickel. De l’autre cĂŽtĂ©, ça conserve quand mĂȘme de sa splendeur Ă  bien des niveaux, que ça soit comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 0 Les Design et l’animation donnent vraiment l’impression de suivre un livre de conte et il n’y a pas Ă  douter que c’était le but quand Disney a pondu le tout premier film d’animation de l’histoire, vous imaginez quand mĂȘme Ă  quel point ce film a marquĂ© l’époque ? Il y a quelques passages qui semblent plus dĂ©tachĂ© de l’aspect conte, on retient surtout comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 1 tout cela avec un budget de tout juste 1,48 million de dollar amĂ©ricain. Ça fait une grosse diffĂ©rence avec les derniers classique Disney rĂ©alisĂ©s. Il reste maintenant Ă  parler de l’histoire, et si dans l’ensemble elle respecte le conte des frĂšres Grimm, il ne faut pas se mentir, le film a vieilli et conserve de nombreux dĂ©faut et reproche qu’on peut lui faire. A commencer par les personnages du prince et de la princesse qui reste quand mĂȘme faible en eux-mĂȘmes par rapport Ă  ceux de maintenant, mais aussi par le fait que ce film opte pour une mĂ©thode semblable aux films de Spielberg privilĂ©gier l’émotion Ă  la logique de l’histoire. Mais cela fait qu’on se retrouve avec un paquet d’incohĂ©rence et d’invraisemblance, mais aussi avec des questions sans rĂ©ponses parfois abracadabrantesque comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 2 Je ne pourrais pas tous les citer, mais autant dire que le film accumule les soucis de cohĂ©rence Ă  de trĂšs nombreuses reprises car le scĂ©nario n’est pas raconter comme un film mais comme un livre sur grand Ă©cran et du coup c’est d’une imperfection y a aussi ce problĂšme temporel propre Ă  beaucoup de Disney, comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 3 Cela dit, les principales qualitĂ©s du film ont un avantage qui font que Blanche-Neige et les sept nains arrivent Ă  plaire malgrĂ© tout ces soucis l’aspect conte de fĂ©e est assumĂ© car elle ne cherche pas Ă  nous faire rĂ©flĂ©chir Ă  toute ces questions mais Ă  faire rĂ©agir nos Ă©motions devant les Ă©vĂ©nements et le dĂ©roulement de l’histoire. Au final comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 4 Le prince est le seul Ă©lĂ©ment entiĂšrement prĂ©judiciable parmi les principaux protagonistes mais il n’en est pas moins que chacun sert l’histoire comme il faut. De plus, Blanche-Neige est un modĂšle intĂ©ressante comme lors de leur traque au monstre quand ils voient leur maison allumĂ©, leur toilettage avant le repas, leur tyrolienne, bref lĂ  c’est ma nostalgie et le fan qui parle. 5 En tant que tel, ça reste un personnage trĂšs faible mais elle est un minimum utilisĂ© ici pour transmettre au moins ceci. Donc, est-ce que c’est l’un des meilleurs classique d’animation Disney qui existe ? Non, il y a eu bien mieux par la suite, mais est-ce qu’il est devenu mauvais et a aussi mal vieilli qu’on peut bien le dire ? Non plus, il garde son charme et sa qualitĂ© en long et en large et personnellement je serais partant pour le revoir de nouveau. Il a ses dĂ©fauts Ă©vident, ses problĂšmes mais il reste culte que ça soit pour les nains, la musique, les chansons ou l’ambiance qui fait tout le charme de ce film. Un excellent classique Ă  voir. Une date dans l'histoire du cinĂšma, qui jouit encore aujourd'hui d'une incontestable poĂšsie, avec ses nombreux gags et son lot d'Ăšmotion! Walt Disney avait pris de gros risques en se lançant dans l'aventure de "Blanche-Neige et les sept nains", dĂšs 1933, un dessin animĂše de long-mĂštrage, sonore en couleurs! A l'Ăšpoque, le genre Ăštait liĂš Ă  l'idĂše d'une bande trĂšs courte alimentĂše par quelques gags! Disney gagne finalement son pari, mais cette rĂšussite exemplaire et commerciale l'entraĂźne sur des voies nouvelles oĂč il perdra son Ăąme...Le budget total dĂšpassa le million et demi de dollars, remboursĂš au centuple par le succĂšs mondial du film qui comporte plus de cent mille images, ayant nĂšcessitĂš plus d'un million de croquis et esquisses! L'Ăštonnant est que de ce monstre industriel soit nĂše un oeuvre pleine de fantaisie et de grĂące! ça reste en tout cas l'un des plus beaux films d'animation de tous les temps, avec la douce Blanche Neige, sa sorciĂšre effrayante, ses nains burlesques Prof, Atchoum, Dormeur, Grincheux, Joyeux, Timide, Simplet et ses mythiques chansons rythmĂšes des 7 nains “Heigh Ho” ou "Un jour, mon prince viendra"! Un monument du 7Ăšme art... Soyons honnĂȘtes on ne voudrait pas ĂȘtre trop sĂ©vĂšre avec ce "monument" de l'Histoire du cinĂ©ma d'animation, premier bĂ©bĂ© des studios Disney et ayant fait rĂȘvĂ© plusieurs gĂ©nĂ©rations d'enfants. HĂ©las, nous sommes mine de rien quelque peu obligĂ©s de nous rendre Ă  l'Ă©vidence beaucoup de choses ne vont pas dans ce "Blanche-Neige et les sept nains." Chansons moyennement convaincantes, un Prince inexistant et risible, un humour parfois assez puĂ©ril.... Mais surtout, que c'est niais! Blanche-Neige est naise, les nains sont niais, les animaux de la forĂȘt sont niais, bref, difficile de faire pire dans le genre! Heureusement nĂ©anmoins que certaines scĂšnes fonctionnent il est vrai plutĂŽt bien et que l'animation sait se faire parfois saisissante, car nul doute que sinon la pilute eĂ»t Ă©tĂ© bien difficile Ă  avaler. En somme, voila donc un dessin animĂ© lĂ©gendaire non sans quelques vraies qualitĂ©s, mais qui a tout simplement vieilli avec le temps. Dommage. Une date dans l'histoire du cinĂ©ma, qui jouit encore aujourd'hui d'une incontestable poĂ©sie, avec ses nombreux gags et son lot d’émotion ! Walt Disney avait pris de gros risques en se lançant dans l'aventure de "Blanche-Neige et les sept nains", dĂšs 1933, un dessin animĂ©e de long-mĂ©trage, sonore en couleurs ! A l’époque, le genre Ă©tait liĂ© Ă  l’idĂ©e d'une bande trĂšs courte alimentĂ©e par quelques gags ! Disney gagne finalement son pari, mais cette rĂ©ussite exemplaire et commerciale l'entraĂźne sur des voies nouvelles oĂč il perdra son Ăąme... Le budget total dĂ©passa le million et demi de dollars, remboursĂš au centuple par le succĂšs mondial du film qui comporte plus de cent mille images, ayant nĂ©cessite plus d'un million de croquis et esquisses ! L’étonnant est que de ce monstre industriel soit nĂ©e un Ɠuvre pleine de fantaisie et de grĂące ! ça reste en tout cas l'un des plus beaux films d'animation de tous les temps, avec la douce Blanche Neige, sa sorciĂšre effrayante, ses nains burlesques Prof, Atchoum, Dormeur, Grincheux, Joyeux, Timide, Simplet et ses mythiques chansons rythmĂ©es des 7 nains “ Heigh Ho ” ou " Un jour, mon prince viendra ! " Un monument du 7Ăšme art... Oui c'est vraie, Blanche-Neige et les Sept Nains, ça a un peu vieilli le film a quand mĂȘme 76 ans, ce qui n'est pas rien. Cependant, c'est quand mĂȘme Le premier long-mĂ©trage d'animation au monde Ă  la fois sonore et en couleurs, ce qui veut dire que ce long-mĂ©trage en question fĂ»t un immense progrĂšs technologiques ayant rĂ©volutionnĂ© le genre aprĂšs, chaque films produits par Disney sauf l’exception de Frankenweenie qui a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en noir et blanc pour des raison de style furent rĂ©alisĂ©s en couleurs et avec du son. Leurs paroles sont simples et rĂ©pĂ©titives mais les chansons sont quand mĂȘme cultes et trĂšs bien intĂ©grĂ©es dans l'histoire. Concernant l'histoire justement, elle ravira toutes les tranches d'Ăąge ; en gĂ©nĂ©ral, quand on aime un film comme Blanche-Neige durant son enfance, on l'aime encore en devenant adulte. MĂȘme si Blanche-Naige est prĂ©sentĂ©e comme une protagoniste un peu trop parfaite Ă  mon goĂ»t ce qui Ă©tait la mode chez Disney Ă  l'Ă©poque ; d'ailleurs, ça a bien changĂ© parce que ce personnage ainsi que Cendrillon et La Belle au Bois Dormant sont trĂšs diffĂ©rentes de Raiponce ou encore Tiana, c'est un protagoniste trĂšs charismatique ! Les nains aussi sont trĂšs attachants ! La Reine/ La SorciĂšre est quant Ă  elle une antagoniste culte l'une des plus Grandes mĂ©chantes du genre selon moi ! Enfin, les doublage sont gĂ©niaux ! Blanche-Neige et les sept nains C’est incroyable, un des premiers dessins animĂ©e mais aussi le tout premier Disney et il avait dĂ©jĂ  toute sa magie et son gĂ©nie. Vraiment, ce conte revisitĂ© par Walt Disney est un vrai petit bijou et possĂšde dĂ©jĂ  touts les Ă©lĂ©ments qui font les lettres de noblesses de Disney. C'est-Ă -dire une animation qui pour l’époque, on en revint pas. Ce film a quand mĂȘme 76 ans donc quand on voit cette beautĂ© de l’animation trĂšs crayonnĂ©, ça fait trĂšs peinture en arriĂšre plan enfin c’est juste sublime et ça a du faire sa rĂ©volution a l’époque. Sinon, il possĂšde aussi les belles chansons qui rythment cette aventure. Et elles sont tous simplement mĂ©morable on rentre du boulot » ou encore mon prince viendra »  Et on a le droit aussi a une histoire classique et certes peu original de nos jour car c’est un peu simplet mais c’est efficace car c’est la base de tout conte une mĂ©chante sorcier, une princesse, une histoire d’amour qui triomphe et des personnages attachants comme les 7 nains qui sont trĂšs amusants a suives. Donc voila, un classique intemporelle qui montre a quel point Disney avait du potentiel un immanquable. L’une des piĂšces maitresses prouvant le savoir-faire de Walt Disney. C’est assez dingue comment ce film n’a pas vieilli aujourd’hui, preuve s’il Ă©tait nĂ©cessaire de l’incroyable performance technique que reprĂ©sente ce Blanche-neige ». Reste derriĂšre l’exploit formel l’histoire de Blanche-neige, malheureusement pas de celles qui me parlent le plus. Dommage, car Ă  cette Ă©poque lĂ  l’ami Walt n’était pas encore trop polluĂ© par son esprit thĂ©iĂšres qui parlent et qui chantent ». Comme quoi les diffĂ©rentes inspirations d’un gĂ©nie artistique n’ont pas toujours le timing qu’il faut
 Depuis 1928, les succĂšs de sa star planĂ©taire Mickey Mouse et de sa sĂ©rie de courts mĂ©trages les Silly Symphonies ont permit Ă  Walt Disney d'entreprendre le plus grand dĂ©fi de sa carriĂšre la crĂ©ation de son tout premier long mĂ©trage animĂ© Ă  la fois sonore et en couleur. Walt Disney va alors choisir d'adapter une histoire populaire cĂ©lĂšbre, le conte des frĂšres Jacob et Wilhelm Grimm datant de 1812, Blanche-Neige et les sept nains. Il Ă©tait une fois... Blanche-Neige, une jeune et jolie princesse maltraitĂ©e par sa belle-mĂšre, la Reine, jalouse de sa beautĂ©. ÉgarĂ©e en forĂȘt, elle se retrouve dans une chaumiĂšre habitĂ©e par sept nains Prof, Joyeux, Grincheux, Dormeur, Atchoum, Timide et Simplet. PiĂšce maĂźtresse de l'industrie cinĂ©matographique, ce premier long mĂ©trage d'animation de Walt Disney a su capter l'imagination et toucher les cƓurs comme jamais aucun film ne l'avait fait. Des gĂ©nĂ©rations entiĂšres de spectateurs comme moi ont Ă©tĂ© enchantĂ©es par son incomparable beautĂ©. Nous sommes immĂ©diatement aspirĂ© dans un univers magique et parfois effrayant. À l'Ă©poque, cependant, tout le monde Ă  Hollywood pensait que le projet de tourner un long mĂ©trage d'animation Ă©tait insensĂ©. Qui accepterait de voir un dessin animĂ© d'1h30 ? Walt n'avait d'autre ambition que de reculer les frontiĂšres du possible. En 1934 et pendant un an, Walt avec ses qualitĂ©s de merveilleux conteur va s'inspirer trĂšs librement du conte de fĂ©e originel en dĂ©veloppant, grĂące Ă  ses meilleurs scĂ©naristes, une Ɠuvre crĂ©ative satisfaisante pour le scĂ©nario. Le film est truffĂ© de gags, mais il est aussi plein d'Ă©motion, de magie et met en avant une exaltante combinaison d'images magnifiques et de chansons fortes qui resteront gravĂ©es dans les mĂ©moires comme "Siffler en travaillant", "Heigh-Ho", et "Un jour mon prince viendra". Walt va rassembler ses meilleurs artistes qui vont donner vie aux personnages animĂ©s 6 corĂ©alisateurs et 24 chefs-assistant pour l'animation et qui avaient contribuĂ© au succĂšs des courts mĂ©trages + les animateurs dessinateurs, traçage, gouache etc... notamment EuropĂ©ens comme Albert Hurter, Gustaf Tenggren et Ken Nielsen mais aussi AmĂ©ricains comme Joe Grant, Fred Moore, Norman Ferguson, Vladimir "Bill" Tytla et les jeunes membres des "Nine Old Men" qui deviendront au fil des annĂ©es les meilleurs animateurs du monde Blanche-Neige animĂ©e par Marc Davis est la premiĂšre des princesses de conte de fĂ©e, une hĂ©roĂŻne Ă  la fois rĂ©aliste et convaincante, les nains reflĂštent de façon caricaturale leurs propres personnalitĂ©s dues Ă  leurs noms mention spĂ©ciale Ă  Simplet^^, la Reine-SorciĂšre animĂ© par Joe Grant est terrifiante Ă  souhait, le prince charmant mĂȘme si il est trop peu prĂ©sent Ă  l'Ă©cran est aussi rĂ©ussi. Le film comporte des scĂšnes spectaculaires et effrayantes le passage dans la forĂȘt fantasmagorique, la transformation de la Reine, la scĂšne finale sur le pic rocheux... magnifiquement rĂ©alisĂ©es par David Hand, le superviseur metteur en scĂšne et la musique merveilleusement orchestrĂ©e par Frank Churchill, Leigh Harline et Paul J. Smith. Au total, ce fut 3 ans de production durant lesquelles plus de 750 artistes et techniciens des studios Disney utilisĂšrent plus de 800 km de papier pour crĂ©er plus de 2 millions de croquis et de dessins. Le rĂ©sultat final sortira Ă  Hollywood le 21 DĂ©cembre 1937 pratiquement 75 ans jours pour jours et connaĂźtra rapidement un Ă©norme succĂšs a travers le monde et Walt recevra un Oscar d'honneur tout Ă  fait original une statuette normale + sept miniatures. Blanche-Neige marquera une Ă©tape supplĂ©mentaire dans l'histoire de l'animation non seulement le film Ă©tablit dĂ©finitivement le studio Disney parmi les "majors" en devenant le plus grand studio d'animation du monde, mais il fit progresser les techniques du dessin animĂ©, au point qu'il faudra attendre la naissance de l'image assistĂ©e par ordinateur pour constater de nouveaux progrĂšs. La plus grande folie de Disney Ă©tait devenue son plus grand triomphe et en Ă©levant l'animation au rang de nouvelle forme d'art, Walt Disney avait changĂ© Ă  tout jamais l'histoire du cinĂ©ma d'animation. Triomphe artistique, Blanche-Neige et les sept nains est un film Ă©ternel, avec une musique et un humour inoubliable. Un trĂ©sor inestimable Ă  transmettre de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. Le 1er Chef-d’Ɠuvre de Walt Disney. Le premier long mĂ©trage d'animation de Walt Disney est un pur chef-d'oeuvre, l'histoire de Blanche-Neige ne s'oublie pas en Ă©tant probablement celle qui symbolise le plus les contes oĂč une princesse est sauvĂ©e par un prince charmant. Blanche Neige fait partit des productions Disney bien calibrĂ©es, ayant un certain charme. Datant de 1938, cette animation a le mĂ©rite de posseder une image synthĂšse agrĂ©able Ă  regarder. Quand on dit que le premier long mĂ©trage d'animation sorti des studios Disney resta inĂ©galĂ©, on ne peut le nier. Ce film est une petite merveille l'animation est sublime, les couleurs magnifiques, les chansons cultes, les gags nombreux, le film contient tous les ingrĂ©dients pour maintenir l'attention du spectateur humour, Ă©motion, frisson... Un excellent moment de cinĂ©ma. Un chef-d'oeuvre qui aprĂšs des dĂ©cĂ©nnies n'a rien perdu de son impact. DrĂŽle, effrayant, merveilleux 
 Blanche-Neige n'est pas qu'un excellent Disney, c'est l'un des meilleurs films d'animation jamais faits. Oui! On sait...patati patata, Blanche-neige est gourde, patati patata, et le reflet de son Ă©poque et blablaba!Bon, mais Est-ce si grave que ça au final? Non, je ne crois pas...Ce ne sont pas des choses que l'on dit quand est petits! Donc, il faut arrĂȘter! Ce n'est qu'un dĂ©tail qu'on remarque quand on est plus grand!Boucle d'or squatte bien la maison des trois ours, mange la soupe de l'ourson, et va dormir dans son lit. Est-ce que les enfants ont eu envie de faire de mĂȘme?Le petit chaperon rouge ne capte pas qu'il s'agit du loup en regardant de sa " grand-mĂšre". Est-ce que cela dĂ©range tant les enfants? Pas plus que Blanche-neige, qui squatte la maison des nains, la lave, s'endort chez eux, et ne comprend pas que la sorciĂšre est sa belle-mĂšre, malgrĂ© les signes des animaux!Je veux dire que si on critique ce dessin animĂ©, on peut critiquer bien d'autres histoires pour enfants! Mais ça n'a au final pas d'importance, puisqu'on n'en n'a pas vraiment conscience, quand on est petitsDonc stop!Il faut voir ce dessin animĂ© comme une Ɠuvre, qui, en gĂ©nĂ©ral, est trĂšs apprĂ©ciĂ©e chez les petites filles. Il peut mĂȘme apprendre aux enfants Ă  ĂȘtre propres, et Ă  se mĂ©fier des inconnus!Les chansons sont trĂšs jolies, et les graphismes ont bien vieilli. Je l'ai toujours adorĂ©! L'animation aujourd'hui encore tient parfaitement la route, toujours aussi fluide et naturelle. Mais alors le personnage de Blanche-Neige fait bien sourire tant il est dĂ©passĂ©. Un peu nunuche, elle parle aux animaux il y a vraiment que des filles pour parler Ă  des animaux et pas des gros animaux non non, des petits tout mignons comme des lapins, des biches, des moineaux bleus, des Ă©cureuils. Et surtout Blanche-Neige est le fantasme de tous les hommes qui se respecte elle fait le mĂ©nage et la cuisine avec plaisir elle en a mĂȘme fait une chanson siffler en travaillant. Elle squatte la maison des nains Ă  cette condition d'ailleurs les temps ont changĂ© n'est ce pas ?. Et comme toutes les potiches, elle n'a qu'un seul rĂȘve rencontrer le prince charmant beau et fort. Belle vision de la femme, ça a bien changĂ© que les nains remontent le niveau et offre plus de sympathie et d'humour, chacun ayant sa propre personnalitĂ©. Le plus interessant est grincheux mĂȘme si mon prĂ©fĂ©rĂ© est sorciĂšre/reine, belle mĂšre de Blanche Neige offre quand Ă  elle les moments effrayants et gothique avec une ambiance proche d'un film d'horreur et le prince lui est quasiment que reste il de ce bijou du cinĂ©ma qui lui a tant apportĂ© ? Et bien si je ne l'avais pas vu des centaines de fois Ă©tant enfant, je dirais que ce serait un bel objet cinĂ©matographique. Ringard, d'un autre temps mais amusant avec ses moments cultes, comme les chansons "hey ho on rentre du boulot" , la scĂšne de fĂȘte, et du bain. Et dĂ©jĂ  Ă  cette Ă©poque le savoir faire de Disney Ă©tait montrer impĂ©rativement Ă  nos petites tĂȘtes blondes, qu'ils sachent ou se situe vraiment la place de la femme Ă  la maison. Premier long mĂ©trage animĂ© Disney, et que dire sur ce chef d'Ɠuvre ? Tout est trĂšs bien menĂ©, couleurs, dialogues et surtout des chansons devenus cultes que tout le monde Ă  fredonner au moins une fois dans sa vie. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse I CUSTODI E STUDIOSI DEL PIU' ANTICO MISTERO HOME SHALOM HA’QAHAL INTERNATIONAL SOSTEGNO SPIRITUALE ONLINE APPROFONDIMENTI CHI SIAMO PRIVACY POLICY VIDEO CONTATTACI HOME SHALOM HA’QAHAL INTERNATIONAL SOSTEGNO SPIRITUALE ONLINE APPROFONDIMENTI CHI SIAMO PRIVACY POLICY VIDEO CONTATTACI Oops! That page can’t be found. Questo sito utilizza i cookies per migliorare l'esperienza di navigazione. Noi assumiamo che continuando siete d'accordo al loro utilizzo, ma potete sempre scegliere di leggere prima la privacy policy - cliccate sul pulsante a Rifiuto Privacy Policy Rock critic amĂ©ricain Ă©crivant notamment pour le magazine Rolling Stone, Rob Sheffield est l’auteur de deux livres Bande Originale » et Tomber les filles avec Duran Duran », rĂ©cemment paru en France aux Ă©ditions Rue Fromentin. Deux romans dans lesquels il se raconte Ă  travers des chansons, car, pour ce vrai passionnĂ© qui entretient un rapport viscĂ©ral Ă  la pop music, lorsqu’on enregistre une cassette, on Ă©crit l’Histoire ». J’ai bĂąti ma vie entiĂšre autour de mon amour de la musique. Je passe mon temps Ă  courir aprĂšs ma prochaine chanson prĂ©fĂ©rĂ©e. Mais jamais je n’arrĂȘte d’écouter mes compilations. 
 Les compilations conservent mieux les souvenirs que les tissus du cerveau. Chacune d’entre elles raconte une histoire. Rassemblez-les, et vous avez l’histoire d’une vie. » Rob Sheffield J’ai fait ma premiĂšre compile sur cassette en 1994, en rentrant de vacances dans le Vercors. J’avais le bĂ©guin pour un animateur du club des prĂ©-ados et, comme j’avais treize ans, que je ne ressemblais Ă  rien et que je ne parvenais que trĂšs difficilement Ă  ouvrir la bouche sans me couvrir de ridicule, je n’avais jamais osĂ© lui parler. La seule fois oĂč il m’a tenu la main, c’était pour me relever aprĂšs que je m’étais pĂ©tĂ© la gueule dans une grotte, en spĂ©lĂ©o malheureusement, j’ai dĂ» me laver la main juste aprĂšs ; elle Ă©tait pleine de boue. J’avais passĂ© ces quinze jours munie de mon walkman, Ă©piant l’élu de mon cƓur en actionnant les touches rewind » et FF » pour Ă©couter des chansons qui, plus tard, resteraient Ă  jamais associĂ©es Ă  lui. Une fois rentrĂ©e Ă  Paris, j’avais sĂ©lectionnĂ© ces chansons et les avais rassemblĂ©es sur une cassette, que j’intitulai Compile Fabien ». J’ai commencĂ© Ă  prendre l’habitude de faire des compiles Ă  propos de tout et n’importe quoi. Des compiles enregistrĂ©es d’aprĂšs la radio allemande qu’on ne captait qu’en Moselle et qui passait de la musique des annĂ©es 50, 60 et 70 Stones, Kinks, Herman’s Hermits, Hollies etc.. Des compiles associĂ©es Ă  chaque type dont je tombais amoureuse. D’autres, rĂ©servĂ©es Ă  un usage prĂ©cis cassette Ă  Ă©couter dans le train, cassette pour quand ma famille m’a pris la tĂȘte, cassette pour faire une fugue, etc.. J’ai aussi envoyĂ© par la Poste de nombreuses cassettes Ă  mon premier petit ami, auxquelles j’apportais un soin mĂ©ticuleux Hole, the Breeders, the Kelley Deal 6000, ça vous dĂ©goĂ»te un homme. Mais la Rolls des compiles, celle que je fais encore Ă  l’heure actuelle sous forme de playlist iTunes la modernitĂ©, que voulez-vous
, c’est la compile de fin d’annĂ©e. Quatre-vingt-dix minutes qui rĂ©sument en musique toute l’annĂ©e Ă©coulĂ©e. Les Ă©couter bout Ă  bout revient Ă  lire mon journal intime. J’ignore si nous sommes nombreux Ă  faire cela ; j’ignore si beaucoup de gens Ă©coutent encore les cassettes de leur adolescence. C’est un sujet dĂ©licat, qu’on ne peut pas aborder avec tout le monde, c’est trop personnel. Une chose est sĂ»re Rob Sheffield fait partie de ces irrĂ©ductibles nostalgiques qui, pour vivre, ont besoin de compiler des chansons. Comme le Rob Gordon de Nick Hornby qui, en plus de faire des cassettes Ă  ses petites amies, classe ses disques par ordre autobiographique, c’est-Ă -dire dans l’ordre dans lequel il les a acquis pour savoir oĂč trouver tel disque, il lui faut se souvenir qu’il l’avait achetĂ© pour telle fille, mais qu’il n’a jamais eu l’occasion de le lui offrir. Un type de classement jugĂ© rassurant » par son collĂšgue disquaire. Au printemps 1998, sans avoir lu High Fidelity, j’avais moi aussi entrepris le classement autobiographique de mes disques. Est-ce une pathologie ? Love is a Mix Tape À en croire Rob Sheffield, non. Pour ce rock critic amĂ©ricain, lorsqu’on enregistre une cassette, on Ă©crit l’Histoire ». Dans son premier livre, Love is a Mix Tape — Life and loss, one song at a time, paru en France en 2009 sous le mauvais titre Bande Originale, Sheffield dresse une liste non exhaustive des diverses raisons d’enregistrer des cassettes Je te veux » ; On couche ensemble ? GĂ©nial ! » ; Tu aimes la musique, j’aime la musique, je sens qu’on va bien s’entendre » ; Tu m’as brisĂ© le cƓur et fait pleurer et voici vingt ou trente chansons sur le sujet » ; etc. Il y a des tas d’autres raisons d’enregistrer des compilations. La cassette pour prendre des drogues. La cassette pour les transports en commun. La cassette pour la vaisselle. La cassette pour la douche. Les plus grands succĂšs de la pile de disques de votre partenaire, la nuit avant la rupture. Il y a des millions de chansons, et des millions de façons de les relier entre elles au sein d’une compilation ». Chaque chapitre de Love is a Mix Tape est introduit par une image du dos d’une cassette, sur laquelle on peut voir les titres qui la composent. L’auteur a rĂ©digĂ© ces lignes en Ă©coutant la compile en question, laissant les souvenirs affluer. C’est ainsi qu’au dĂ©tour d’une cassette datant de 1993, on dĂ©couvre le Dur dur d’ĂȘtre bĂ©bĂ© de Jordy, tapi entre Meat Puppets, New York Dolls, L7 et Buzzcocks. Rob Sheffield a 46 ans, et a grandi dans la banlieue de Boston, au milieu de quatre frangines fans de Duran Duran. D’origine irlandaise, il est catholique pratiquant ou en tout cas l’a Ă©tĂ© pendant longtemps. Durant son adolescence, pour le carĂȘme, il a dĂ©cidĂ© d’abandonner la musique du diable, ce qui signifiait, pendant sept semaines, d’écouter la radio en se demandant quelles chansons Ă©taient diaboliques et quelles chansons Ă©voquaient simplement le diable. Selon ses critĂšres, Sympathy for the Devil des Stones Ă©tait acceptable car elle Ă©tait contre le diable », mais Friend of the Devil de Grateful Dead Ă©tait trop indulgente envers Satan ». Il s’est interdit d’écouter Walk on the Wild Side de Lou Reed parce qu’elle Ă©tait purement diabolique », et s’est fait une cassette spĂ©cialement tronquĂ©e de l’album London Calling » des Clash, qui excluait le passage sur le type qui baise des nonnes. Il y a dĂ©cidĂ©ment un tas de bonnes raisons d’enregistrer des cassettes. La fin du carĂȘme a Ă©tĂ© pour lui un soulagement, et il s’est fait plaisir en Ă©coutant Walk on the Wild Side le matin de PĂąques. Love is a Mix Tape est une quadruple dĂ©claration d’amour ; Ă  la musique pop tout d’abord. Aux cassettes, qui seront toujours cool ». À la musique des annĂ©es 90. Et surtout Ă  RenĂ©e, sa femme, dĂ©cĂ©dĂ©e trop jeune et brutalement en 1997. Durant la premiĂšre moitiĂ© des nineties, Sheffield et son Ă©pouse passaient leur temps Ă  Ă©couter de la musique, inventer des cocktails aux couleurs Ă©tranges, recevoir des amis, aller voir des concerts dans leur petite ville du Sud, Charlottesville, chroniquer des disques pour la presse rock, et s’enregistrer des cassettes compilant ce qu’ils aimaient Ă  ce moment-lĂ . Tous deux Ă©taient fans de Pavement, L7, Nirvana et consorts. En avril 1994, Ă  la mort de Kurt Cobain, Rob Sheffield aura cette phrase d’anthologie C’était sans doute le dĂ©cĂšs de rocker le moins surprenant de tous les temps. Kurt menaçait de se suicider depuis si longtemps que c’était un peu comme s’il jouait au Cluedo avec ses fans. À Rome, avec les cachets ? Non, Ă  Seattle, avec le fusil de chasse. » Life and loss La mort de RenĂ©e, ĂągĂ©e d’à peine 31 ans, a Ă©tĂ© beaucoup plus surprenante, laissant Rob Sheffield seul et profondĂ©ment malheureux. Son premier livre raconte son histoire d’amour, et la perte de la femme qu’il aimait, l’hĂ©roĂŻne du roman. Leur rencontre, avec une chanson de Big Star en fond sonore. Les premiĂšres cassettes Ă©changĂ©es. Leur vie commune, puis leur mariage, et l’arrivĂ©e du chien sudiste, nommĂ© Duane comme Duane Allman des Allman Brothers. La dĂ©couverte de Pavement, la sortie de Smells like Teen Spirit, une cassette pour faire la vaisselle intitulĂ©e la Zone de confort, et de longs passages trĂšs intĂ©ressants qui parlent de l’étrange sentiment d’impuissance que l’on peut Ă©prouver quand on est jeune mariĂ©, engagĂ© pour la vie avec une femme dont on est amoureux et qu’on ne laissera jamais tomber, quoi qu’il arrive, mĂȘme si l’on a du mal Ă  la protĂ©ger de tous les sales trucs dont on voudrait la mettre Ă  l’abri. L’explosion du grunge, la teinture pour cheveux et les robes style empire. L’album posthume Unplugged in New York de Nirvana, qui, selon l’analyse de Rob Sheffield, ne parle pas des pressions liĂ©es Ă  la cĂ©lĂ©britĂ©, mais est composĂ© de chansons d’amour. Du genre d’amour qu’on ne peut abandonner qu’en mourant, jusqu’à ce que la mort les sĂ©pare ». Un album, donc, qui parle du mariage, avec la voix d’un homme mariĂ©. MariĂ© et enterrĂ©. L’explication se tient, quand on la lit dans son intĂ©gralitĂ©, paroles de chansons Ă  l’appui. L’histoire d’amour que nous raconte pudiquement Rob Sheffield est, bien sĂ»r, ponctuĂ©e de musique, mais aussi d’innombrables anecdotes sur l’hĂ©roĂŻne, ses manies, sa joie de vivre, ses cĂŽtĂ©s pĂ©nibles, ses lubies, sa crĂ©ativité  En racontant la femme qu’il aimait, il arrive Ă  nous la faire aimer. Alors qu’il se remĂ©more toutes ces petites choses du quotidien pour la faire revivre dans les pages de son livre, il nous donne envie, Ă  nous lecteur, de la connaĂźtre. Et nous fait regretter de n’avoir jamais eu l’occasion de la croiser. Puis vient la mort brutale de RenĂ©e. Le refus d’y croire. La logistique des obsĂšques, la gentillesse des proches, le profond dĂ©sespoir, et d’autres choses que les gens qui n’ont pas connu la perte d’une personne trĂšs proche n’iraient jamais imaginer. Dans la littĂ©rature rock », voire mĂȘme dans la littĂ©rature tout court, il y a peu de jeunes veufs. En tout cas, peu de jeunes veufs parviennent Ă  Ă©crire sur le sujet. Rob Sheffield, compilations Ă  l’appui, raconte sobrement la perte, parvenant Ă  rester drĂŽle et Ă©mouvant, Ă©vitant le pathos. Par exemple, la sortie de la chanson Mmm Bop des frĂšres Hanson le rend triste, car RenĂ©e aurait adorĂ© cette chanson, mais elle n’a jamais eu l’occasion de l’écouter. Un trĂšs beau rĂ©cit sur la façon de surmonter le deuil, dans lequel on croise Jackie Kennedy, jeune veuve cĂ©lĂšbre, ainsi qu’un nain Ă  nachos » qui travaille dans un restaurant de tapas, dont le job consiste Ă  porter un sombrero dont les bords sont remplis de dĂ©licieux nachos et au sommet duquel se trouve une coupe pleine de salsa. Le nain Ă  nachos invite les clients Ă  se servir sur sa tĂȘte, suscitant l’opprobre d’autres nains qui, dĂ©pourvus de nachos, jugent ce boulot dĂ©gradant et insultant. Love is a Mix Tape est aussi une ode Ă  la musique des annĂ©es 90. C’était une Ă©poque ouverte, libre, pleine de possibilitĂ©s, une Ă©poque de changements que nous croyions permanents. Il semblait inconcevable que les choses puissent redevenir ce qu’elles Ă©taient dans les annĂ©es 80, quand des monstres dirigeaient le pays et que les femmes n’avaient le droit de jouer que de la basse dans les groupes de rock indĂ©. » Il est rassurant de constater que je ne suis pas la seule personne Ă  qui le rock alternatif des nineties manque cruellement. J’avais fini par penser que ce sentiment de libertĂ©, cette Ă©nergie qu’avaient Ă  mes yeux les groupes indĂ©s des 90’s, surtout les groupes de filles, n’étaient qu’une impression due au fait que cette musique coĂŻncidait avec mon entrĂ©e dans l’adolescence. Rob Sheffield m’a prouvĂ© que ce n’était pas qu’une impression. Ce grand livre sur l’amour et la perte est aussi, vous l’avez compris depuis un moment dĂ©jĂ , une dĂ©claration d’amour aux cassettes, que l’on retrouve dans Tomber les filles avec Duran Duran, son deuxiĂšme roman. Sheffield y consacre mĂȘme un chapitre entier aux cassettes deux titres. Tomber les filles avec Duran Duran Ce bouquin-lĂ  est une compilation Ă  lui tout seul, la bande originale de l’adolescence de Rob Sheffield. Chaque chapitre porte le nom d’une chanson qu’il Ă©coutait en boucle Ă  un moment donnĂ©. Cela finit par constituer une playlist qui donne un aperçu de ce qu’était grandir dans les annĂ©es 80, aux États-Unis. Je ne connais pas le quart des chansons dont parle le livre ; je suis trop jeune pour avoir entendu ces tubes qui, pour la plupart, n’ont durĂ© que trois mois avant de sombrer dans l’oubli. J’aurais pu aller les Ă©couter sur YouTube et, par la mĂȘme occasion, voir Ă  quoi ressemblait le groupe ; mais j’avais fait ça quand je lisais le Fargo Rock City de Chuck Klosterman, livre dans lequel il parle de sa passion adolescente pour les groupes de heavy metal des annĂ©es 80 — Klosterman a Ă  peu prĂšs le mĂȘme Ăąge et le mĂȘme parcours que Rob Sheffield, mais ils n’aimaient pas les mĂȘmes groupes. Regarder ces vidĂ©os s’était rĂ©vĂ©lĂ© ĂȘtre une fort mauvaise idĂ©e loin de m’aider Ă  comprendre la passion du journaliste pour ces improbables rockers permanentĂ©s en shorts cyclistes rose fluo, voir un clip du groupe Poison m’a tout simplement Ă©cƓurĂ©e — ce qui est plutĂŽt bon signe, Ă  mon avis. Aussi, je prĂ©fĂšre voir ces chansons Ă  travers les yeux du gamin qui adorait ces groupes, plutĂŽt que de les Ă©couter en vrai. Sheffield, comme Klosterman, parle beaucoup mieux de la musique des annĂ©es 80 qu’une vidĂ©o qui a mal vieilli. J’ai donc choisi de laisser de cĂŽtĂ© les jugements esthĂ©tiques pour ne m’intĂ©resser qu’à la seule chose qui ait rĂ©ellement de l’importance la façon dont l’auteur ressent la musique. À l’instar de beaucoup d’adolescents, le jeune Rob Sheffield est fascinĂ© par les filles. Pas une fille en particulier il ne connaĂźt pas encore RenĂ©e, non juste les filles. À ses yeux, la gent fĂ©minine dans son ensemble possĂšde son propre mode de fonctionnement, ses propres codes Ă©trangers aux garçons. Avoir une petite amie est un but inaccessible, mais reste nĂ©anmoins une obsession. Aussi sa prĂ©occupation principale est d’essayer de comprendre le langage des filles ». Pour ce faire, il va s’appuyer sur la pop music. Il en rĂ©sulte une analyse quasi sociologique des rapports diffĂ©rents qu’entretiennent filles et garçons avec la musique. Un exemple ? Alors que les garçons peuvent passer des heures Ă  dĂ©battre pour savoir quel est le meilleur album des Clash, entre London Calling » et Sandinista », les filles, elles, disent simplement qu’elles aiment la chanson Stand by me, et se foutent complĂštement de savoir que son titre est en fait Train in Vain. Je suis d’ailleurs prĂȘte Ă  parier que, sous cet article, nous trouverons au moins un commentaire d’homme nous donnant son avis sur le meilleur album des Clash. D’ailleurs, doit-on dire les Clash, ou le Clash ? Hein ? Ah et au fait j’ai longtemps cru que Train in Vain s’appelait Stand by me... En analysant la musique qui leur plaĂźt et pourquoi cette musique leur plaĂźt, il tente de comprendre le mystĂšre des filles. ProblĂšme il semble qu’à cette Ă©poque, toutes les filles sans exception Ă©taient prises d’une vive passion pour Duran Duran. Passion incomprĂ©hensible pour moi, Française nĂ©e en 1981, qui n’ai jamais eu l’idĂ©e extravagante de ne serait-ce qu’écouter une chanson de ces tarlouzes aux coupes de cheveux tout droit sorties du feuilleton Dallas. Pour moi, Duran Duran est l’un des quarante pires groupes de tous les temps* — et je n’ai jamais rencontrĂ© qui que ce soit qui soit fan de ce groupe, pas mĂȘme une fille. Pas mĂȘme ma mĂšre, qui prĂ©fĂšre Dire Straits. Pourtant, Rob Sheffield part du postulat que les filles aiment Duran Duran et n’ont jamais cessĂ© de les aimer, fondant l’intĂ©gralitĂ© de son livre, titre compris, sur cette thĂšse controversĂ©e. Heureusement, Tomber les filles avec Duran Duran parle aussi de Bowie, Paul McCartney chapitre instructif sur le rapport aux femme et Ă  l’amour du Macca, que l’auteur compare par ailleurs Ă  une grande sƓur irlandaise autoritaire », Morrissey, Roxy Music, Lita Ford
 Et Madonna. Pour Ă©crire ce livre, Rob Sheffield a dĂ©poussiĂ©rĂ© ses vieilles cassettes et les a secouĂ©es un peu, pour voir quels souvenirs elles font remonter Ă  la surface. Et, bien entendu, la plupart d’entre elles sont liĂ©es Ă  des histoires d’amour, ou Ă  son apprentissage de l’amour Ă  travers la pop ». Bon, la musique des annĂ©es 80 Ă©tait vraiment pourrie, tout le monde s’accorde sur ce point. Restent ces fameux souvenirs, qui valent largement leur pesant de cacahuĂštes. Le rĂ©cit d’une adolescence dans l’ordre chronologique, du premier bal Ă  la rencontre de celle qui sera sa femme RenĂ©e, donc, en passant par le premier festival rock, un Ă©change en Espagne oĂč il frĂ©quente ses premiĂšres boĂźtes de nuit, l’arrivĂ©e de MTV, les premiers jobs d’étĂ©. À noter, le remarquable chapitre oĂč il est ice-cream man, glacier ambulant dans sa camionnette pleine de dĂ©licieuses glaces, dans laquelle il dĂ©guste les produits en Ă©coutant du rock. Vous apprendrez qu’il existe une vraie philosophie du glacier, et qu’il est indispensable d’avoir au fond de ses tripes le respect de la glace. Succulent. Juste quelqu’un de bien De ces deux excellents livres, deux choses ressortent 1 les compilations sont un mode de vie, une façon de prendre conscience du temps qui passe », comme le dit fort bien Élise Costa dans la prĂ©face de Tomber les filles avec Duran Duran. Et 2, Rob Sheffield est un type bien. ProfondĂ©ment. Un homme auquel, en lisant ces deux ouvrages, on s’attache. Un type comme vous et moi, avec ses doutes, ses faiblesses, ses guilty pleasures musicaux, et beaucoup d’humour. Un type qui n’essaie pas d’avoir l’air cool. Et surtout, un type dont on est impatient de lire les prochains livres. Rob Sheffield // Bande Originale // Sonatine Éditions Rob Sheffield // Tomber les filles avec Duran Duran // Éditions Rue Fromentin * Lire, si ce n’est dĂ©jĂ  fait, l’hilarant et indispensable article de Nicolas Ungemuth dans Rock & Folk, intitulĂ© les quarante pires groupes de tous les temps ». alpha M artiste Merzhin titre Les nains de jardin Les paroles de la chanson Les nains de jardin »Merzhin c’etait un soirau clair de luneouvrant la porteen joie tout gaitrois secondes aprĂšsdeux hommes en noiravait piquĂ©mes nains de jardin{Refrain}et dans ma tĂȘtetoute la soirĂ©eje me suis misa chantonnerj’avais blanche neige et les sept nainsqui heureux se tenaient la mainsauf grincheux lui qui boudaiten grignotant un morceau de painle lendemain dĂ©s le reveilen BrocĂ©liande je suis allĂ©a toi merlin j’ai demandĂ©pourquoi cela m’est arrivĂ©{au Refrain}j’avais blanche neige et les sept nainsavec un whisky Ă  la mainsauf grincheux lui qui boudaiten sirotant son verre de vineh ho, eh oh, eh ho, eh ho, on rentre du bouleau Paroles de la chanson Heigh-ho ! par Blanche Neige On pioche tic tac, tic tac, Dans la mine, le jour entier. Piocher tic tac, tic tac, Notre jeu prĂ©fĂ©rĂ©. Pas bien malin d'ĂȘtre riche enfin Si l'on pioche tic tac Dans la terre ou dans la roche Dans la mine,dans la mine. Dans la mine,dans la mine. OĂč un monde de diamant brille! On pioche tic tac, tic tac, tic tac Du matin jusqu'au soir. On pioche tic tac, tic tac, Tout ce que l'on peut voir. On pioche les diamants par morceaux Des sacs de rubis par quintaux Pour nous sans valeur sont des trĂ©sors On pioche tic tac, tic tac. Heigh-ho, heigh-ho, heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho On rentre du boulot! Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho Heigh-ho, heigh-ho On rentre du boulot!

chanson des 7 nains on rentre du boulot paroles